De la migration de style de vie au mode de vie mobile. Plaidoyer pour une conception large/ambiguë de la mobilité (essai)
L’une des critiques le plus souvent adressées au concept du « paradigme de la mobilité » de Mimi Sheller et John Urry (2006) est qu’il englobe trop de types de mobilité différents et que, ce faisant, il risque d’occulter d’importantes distinctions entre les motivations, les circonstances, les formes et les conséquences des déplacements à travers le monde. Mais il y a aussi des avantages importants à élargir la notion de « mobilité ».