La dynamique des pratiques change-t-elle la manière de penser les relations kanak aux continuités terre-mer et à la nature ?
Dans les tribus de Nouvelle-Calédonie, de nouvelles pratiques socioéconomiques et des négociations en matière de gestion environnementale entre les populations kanak et l’Administration témoignent d’un désir de réappropriation et de reformulation des liens avec la nature et les territoires. La notion de « liens » est en effet centrale dans l’évolution récente du droit environnemental et des dynamiques de protection des territoires marins.